Stage Couleurs Vagabondes à Chefchaouen, Fès et Meknès organisé, pour la logistique, par Morocco Ecotravel agence testée avec succès l’année dernière. Cette fois-ci, sur les 10 inscrites, 7 faisaient partie du groupe 2023 plus 2 accompagnants, Paul et Doug, 13 avec moi.
Jour 1 Dimanche 5 mai 2024 : Arrivée à l’aéroport St Exupéry, rejointe par toute la bande. Marylène a des soucis avec son billet sur Air Arabia. Le passage en douane est interminable. Enfin, envol pour Tanger, arrivée à 17h 20, après avoir retardé notre montre d’une heure. Là encore, 1 h 20 d’attente à la douane, puis au change.
18h 30, nous sommes accueillie(s) par Yacin et Abdou de l’agence, c’est ce dernier qui nous guidera, Yacin a un autre groupe en même temps. Nous retrouvons aussi avec grand plaisir Momo notre chauffeur préféré pour un long trajet annoncé, avec optimisme, à 3h 30 mais qui sera plus long.
Nous découvrons le Maroc du nord, très bucolique. Ici c’est le Rif, différent de l’Atlas c’est vert et vallonné, un petit air de « massif central ». Les nuages jouent à saute mouton, ça moutonne de contrastes, c’est magique, le ciel s’en mêle, fabuleux.
Nous arrivons autour de 20h 30 dans le magnifique Riad Azemat, cosy et coquet. Pour gagner en calme, nous sommes logées en hauteur par rapport au centre. Découverte des chambres. Hélas il est complet avec les 12 participantes. Abdou, Momo et moi dormirons dans un autre hôtel pas loin, moins joli, mais très confortable c’est le principal. Valises posées, nous mangeons tous ensemble au Riad, un délicieux tajine « anchois et citron ». Régal ! Adbou évoque les objectifs de son agence, puis je parle du déroulement su stage et distribue quelques documents nécessaires. Allez il est près de minuit. Allons nous coucher pour récupérer de la fatigue du voyage.
Jour 2 Lundi 6 mai 2024 – CHEFCHAOUEN
8h Délicieux petit déjeuner au Riad avec l’équipe. Départ 9 h en bus pour le centre. Abdou connait bien la ville et nous conduit par les rues jusqu’à la place El Auta, petit havre de paix agrémenté d’une jolie fontaine. C’est un festival de bleu, toutes ces ruelles qui rivalisent de dégradés de tons, du phtalo pur au céruléum, en passant par l’outremer plus ou moins foncé ou du bleu layette. Quelques murs blancs ou ocrés tranchent, apportant une ponctuation tonique à l’architecte typiquement mauresque et le rif au fond.
Si les petites laines étaient de mise ce matin, bientôt le soleil envahit la place et les manches courtes s’affichent. Pour ce premier dessin, je demande 1) une pochade d’un détail de la place (porte, fenêtre, fontaine…) petit format angle haut de page 2) la vue panoramique de l’une des 2 ruelles sur la double page (au 2/3) en incluant un morceau de photo découpée (distribuées la veille) dans l ‘aquarelle. Réfléchir à quel morceau et où le positionner. 3) un nuancier des couleurs utilisées, partie droite. Garder de la place pour rédiger un petit texte (ambiance, premières impressions à chaud) sans oublier le nom de la place. Finalement, on reste toute la matinée ici, tellement c’est calme et plaisant. Autour de midi, les touristes arrivent. C’et le moment de faire la photo de groupe avant de s’éclipser.
Abdou nous conduit au restaurant Asaada où nous mangeons, bien entendu, un tajine poulet au citron. Nous partons dans les ruelles « les plus connues » qui figurent sur nombre de clichés « instagrammables »de Chefchaouen. Heureusement, il y a peu monde, juste après le repas. Trois groupes s’installent selon des points de vue différents. Je proposé de dessiner sur des intérieurs d’enveloppes bleues (que je distribue) (pas toujours suivis d’effets), il y en a toujours une (ou l’autre) qui n’a pas entendu ! Je circule des unes aux autres, conseils, propositions, perspective. Au bout d’une bonne heure, certaines ont terminé pas toutes. A mon tour, je m’installe près de Marie Luce, en bas de la Calle Sidi Buchuka, où des types fument du cannabis (et vendent aussi semble-t-il, la ville est très connue sur ce plan!). On est « enchichonnées-enfumées » mais le sujet est trop bien. Pendant ce temps, tout le monde est parti, Abdou nous a conseillé de partir tout droit à droite, ce qu’on fait jusqu’au bout, personne. Finalement à force de descendre, on se retrouve au restaurant Asaada. Je n’ai pas le téléphone d’Abdou juste celui de Yacin que j’appelle pour qu’il l’avertisse. Abdou nous demande de rester sur place et nous rejoint avec le reste de la bande. Les dessins sont magnifiques, tout le monde est sous le charme de cette ville, les hommes ravis de faire photos et vidéos insolites. Et puis des chats partout, des mignons mais aussi assez pouilleux, les pauvres.
On a fait le plein de bleu ! Retour à l’hôtel. Nous en profitons pour terminer quelques dessins avant le repas, nous avons une excellente cuisinière Fatima, qui connait le sujet Tajine sur le bout des doigts : délicat tajine aux fèves ce soir, je ne connaissais pas, un pur bonheur.
Jour 3 mardi 7 mai 2024 Chefchaouen suite
Ce matin, après le petit déjeuner, c’est atelier Portrait. Chacune a choisi en amont un portrait (homme ou femme) que je leur ai envoyés. Je distribue du papier calque sur lequel on dessinera le portrait choisi au feutre sans lever le crayon. Prévoir en dessous, un fond coloré dégradé clair. Et le portrait à l’aquarelle sur la page de droite. Ca roule bien comme toujours.
Nous nous rendons dans une autre partie de la ville près de la Kasba sur la place Al Hammam. Nous nous installons à l’ombre pour la plupart. Le haut bâtiment en terre sable orangé tranche sur la ville bleue. Je distribue à chacune un papier Canson brun sur lequel elles dessineront le bâtiment en contour au feutre (à découper pour celles qui le désirent) puis aquarelle; esquisser légèrement les montagnes au dessus façon skyline. Beaucoup « oublient » de pencher les lignes des murs extérieurs et créneaux qui se détachent pourtant nettement sous le ciel bleu, mais on y remédie sur le champ.
Abdou nous emmène à la cascade par un petit chemin tranquille longeant la rivière. On mange en terrasse à l’ombre, (tajine poulet ou boeuf) le soleil tape fort depuis ce matin. Nous découvrons ensuite le panorama des lieux (beaucoup de monde) qui ne m’inspire pas (compliqué de se poser). Mais là juste devant nous, une petite colline dominée par un minaret mignon m’accroche, » instant verdure » ce sera le sujet pour travailler « rapidement » et lâcher couleur ou trait. Des femmes, vendeuses de chapeaux à pompons, nous observent, refusant photo et dessin. Retour dans la ville où j’ai repéré une vieille maison mauresque, colorée et décrépie à sa base, mais follement crocogénique dans sa partie haute. Dessiner par contour façon skyline, aquarelle, uniquement la partie intéressante, on oublie le bas. Il semblerait que c’était autrefois une imposante maison d’hôte, transformée en boulangerie, fermée depuis longtemps. On l’appelle « la maison sans nom ». Et les mirons de Chefchaouen se baladent entre nos jambes réclament à grands coups de tête, les caresses espérées. Une vieille dame joyeuse au grand chapeau à pompons nous observe de loin, elle accepte les photos, elle. (First)
Il est 18h, mon appétit de la ville n’est pas rassasié. Pendant que certaines se désaltèrent en terrasse, avec un petit groupe de compulsives, nous parcourons les ruelles pour l’ultime dessin, nous partons demain matin. Fadièse, Sylvie, Marie Luce, Cécile et moi trouvons notre point de vue. Retour à l’hôtel vers 19h15.
Jour 4 Mercredi 8 mai 2024 – Volubilis, Direction Fès
Après le petit déjeuner et pourboire à Fatima, notre cuisinière-serveuse formidable, nous quittons la ville. Adieu les bleus magiques. La route est longue, les paysages agraires très vallonnés. « »On appelle cette région le Grenier du Maroc » dit Abdou. Blé, céréales en petites parcelles, charmants patchworks colorés, contrastés. Un imposant troupeau de moutons traverse la route sous l’oeil patient d’un bus en sens inverse. Nous arrivons à Moulay Idriss pour le repas à « la colombe blanche » Dar Zerhoune. Ruelles étroites et grimpantes, parfois très colorées, ici tout est dans son jus, par de débauche de bleu, mais du quotidien bien trempé et un type désagréable qui refuse qu’on photographie… son âne !!!
Arrivée à Volubilis, vestiges d’une cité romaine construite sur l’ancien site d’une ville punico-berbère qui fut la capitale du royaume de Maurétanie. Un guide local nous accompagne, sous 32 degrés au moins, on l’écoute péniblement, cherchant un petit coin d’ombre derrière ces sublimes colonnades. Nous stoppons à « la basilique » très indiquée pour dessiner à l’ombre, pendant que quelques « casse-cous », bravant l’ardent mercure, continuent la visite avec le guide. A labri des colonnes, un bel arc se détache sous le ciel, superbe sujet. Je préconise de coller un morceau de sachet de thé en fond. Dessiner dessus au feutre brun + aquarelle. Le groupe revient, Cathy semble avoir une insolation, elle se sent mal, mais dessiner lui redonne la pêche ! Ouf. Vers 17h, nous reprenons la route direction Fès où nous passerons 2 nuits à l’hôtel Zahrat Al Jabal. Changement d’ambiance, dîner au 7ème étage de l’hôtel panoramique.
Jour 5 – Jeudi 9 mai 2024 – FES
Ce matin, atelier pochoirs et mises en page de 9 à 10h. Un guide nous accompagne pour circuler dans le souk de Fès et nous conduit aux tanneries Sidi Moussa. Dédales dans la médina. Pâtisseries luisantes de miel, échoppes, artisanat, babouches, raccordements électriques complexes et illusoires ! Enfin, nous grimpons les escaliers d’une boutique de cuirs menant à la terrasse où nous nous installons pour dessiner. Le matin, nous avons placé une large bande de masquage au 1/3 de la page, pour permettra d’écrire un beau titre et un peu de texte, quad on l’enlèvera. L’odeur des peaux de chèvres et moutons est prégnante. On nous distribue un bouquet de menthe à poser sous le nez, petite délicatesse Marocaine, qui amuse bien Cathy F.
Consignes. Devant nous, se dresse LE minaret, idéalement placé sur notre page de gauche tout en hauteur « Noir et blanc » feutre, ombres en hachures. A côté, horizontalement, mordant sur la page de droite, dessiner et peindre les cuves des tanneries vues d’en haut en perspective bien sûr. Puis, sortir un gabarit rond, zoom sur un détail de la scène. Le guide (dont j’ai oublié le nom), obséquieux, nous inonde de ses conseils inutiles. Soûlant !
Après le repas, dessin à la Medersa Attarine pour 1h 30. Stucs, arcades, perspective ! Justement, ce matin, nous avons fait des pochoirs à cet effet. Dessiner en mordant sur le pochoir coloré une partie de la Medersa. Esquisser un morceau de mosaïque à gauche. Certaines montent à l’étage où se trouvent les chambres monacales des étudiants et dessinent la vue sur les dômes verts. Le guide nous presse pour que nous partions à 17h pile. Il refuse qu’on s’arrête pour acheter la moindre carte postale et part à grandes enjambées, certaines à leur allure, tranquille. Il se permet des réflexions désobligeantes sur « ces dames qui ont passé l’après-midi assises et ne sont donc pas fatiguées », le con. Choquées ! Il voulait être rentré chez lui pour 17h30 ! Il a encore une grosse marge de progression s’il veut continuer dans le tourisme. En tout cas, il n’aura pas de pourboire et on ne le reverra jamais. Un nouveau chauffeur nous attend (Momo est parti avec un autre groupe) et nous ramène à l’hôtel. Finitions des dessins du jour jusqu’à l’heure du dîner.
Jour 6 vendredi 10 mai 2024 – FES
Ce matin, les valises sont prêtes, nous partons en fin de journée pour Meknès, dernière étape. Mais ce matin, nous allons au jardin botanique Jnane Sbil à Fès sous la houlette d’Abdou.
Après le petit déjeuner, atelier préparation de fonds. Nous utilisons le carnet accordéon à 4 faces préparé à la maison et pour le remplir, je propose le jeu de cartes ! Piocher 4 cartes parmi les 20. Sur chacune, une technique est indiquée, par exemple « aquarelle + feutres de couleur » ou « Noir & blanc feutre noir diluable + pinceau réserve d’eau » ou « monochrome », etc…. Le jeu consiste à utiliser les techniques piochées pour chacun des 4 dessins. Ainsi chacune est autonome avec sa consigne et peut se balader à sa guide parmi les essences magnifiques et les arbres centenaires. Ce lieu est très apaisant, bien entretenu, il est clos par une immense pièce d’eau au bord de laquelle bâtiments crénelés et palmiers se reflètent. Abdou nous réunit avant la fermeture pour évoquer l’aspect botanique du lieu, toujours passionnant. Nous mangeons juste en face dans un resto sympa, le Garden. Tiens, il y a du Wifi ici ???
L’après-midi, nous partons visiter l’atelier Art Naji, Poterie, zelliges, mosaïques. Nous visitons les ateliers où dessinent les artistes à main levée, avec une précision redoutable, sans esbroufe. Dans l’un d’eux, qu’il partage avec 2 jeunes filles et un garçon, Nabil semble particulièrement connu, son nom figure au dessus de son poste de travail, je le dessine rapidement, il est fier. De même, les jeunes filles voilées ou pas, dans une autre pièce, sont ravies de notre présence, ça les divertit. Quel talent ! Je propose de dessiner au feutres de couleur un ou plusieurs artisans sur une carte que j’ai préalablement grattée au papier de verre pour effacer le fond, Je distribue également un morceau de journal local pour dessiner dessus. Tout le monde se disperse en tirant partie de scènes de vie, détails de mosaïque, etc…
Direction Meknès, vers 18h45 nous arrivons à la Porte monumentale Bab El Mansour au centre ville . La ville est en importants travaux de réfection depuis plusieurs années qui devraient s’achever dans 1 ou 2 ans. Notre Riad « le petit Ksar » est situé au coeur de la Médina, très encombrée en journée avec des étals de toute sorte. Quant au riad, il est magnifique et cosy. Nous avons toutes des chambres de rêve et le roof top est un véritable jardin d’hiver assorti d’un coin repas que nous partageons avec plaisir. L’ensemble du personnel est charmant et la nourriture délicieuse.
Jour 7 Samedi 14 mai – MEKNES
A 9h, Hassan, notre guide Meknessi nous accompagne à pied dans la vieille ville jusqu’au Mausolée Moulay Ismaël, imposant bâtiment d’architecture mauresque précédé d’une vaste cour et portes somptueuses. Ici le dress code des mosaïques c’est vert, orange, noir et blanc. J’aime bien cette ville restée dans son jus et comme nous sommes dans la Médina, près de la population, c’est plus sympa qu’à Fès où notre hôtel nous éloignait du centre historique.
Un groupe s’installe à l’intérieur, les autres dehors à l’abri du soleil. Ce sera dessin + aquarelle simplement, pendant qu’une dame nettoie la cour à grande eau, en prenant soin de ne pas nous arroser. Les réalisations sont très réussies.
Un peu plus tard, Hassan nous conduit dans une boutique de damasquinage, incrustation de fils d’argent dans des objets ou bijoux en métal. C’est une technique ancestrale et nous apprenons que le fil d’argent est fabriqué à Lyon. Repas dans un restaurant panoramique dominant une place… en travaux.
Visite et derniers dessins au Musée des Instruments de musique proche de notre Riad. C’est un bel édifice comportant un jardin aux céramiques noires, orange et vertes. A l’intérieur, résonne une musique berbère qui nous met dans la bonne ambiance pour croquer. J’invite à emmêler les sujets, en mélangeant différentes échelles, faire mordre et entrelacer les instruments les uns sur les autres, feutres, crayons de couleur, aquarelle et lâcher tout. Vers 16 h 30, c’est quartier libre, l’occasion de faire un tour dans le souk pour quelques achats d’épices, fruits secs en pyramide débordant des étalages. Abdou n’est jamais loin derrière nous. Dernier portrait avec Fadièse, du marchand de dates et figues coincé derrière son étal. Dernier repas sur la terrasse, après avoir regardé tous les carnets, sélection (et photo) de dessins de chacune. Beau travail les filles. Dernier tajine au citron !
Jour 8 Dimanche 15 mai – Retour
Lever matinal pour un départ à 6h direction CASABLANCA prendre notre avion. 3 à 4 bonnes heures de route. C’est étrange cette ruelle vide, tous les étals ont disparu pendant la nuit et réapparaîtront d’ici 1 à 2 heures, on a l’impression d’avoir changé d’adresse.
Vers 8h, nous stoppons dans un petit restaurant de quartier pour prendre le petit déjeuner. Une dame joviale fait des crêpes épaisses devant le café, qu’on dégustera bientôt. Elle accepte qu’on la prenne en photo, souriante, « soyez les bienvenus » sésame magique. Pas de généralité, dans ce pays, la photo c’est aléatoire, mais si vous n’avez pas noué le moindre lien préalable, ça ne le fait pas. Et tout le monde n’a pas le même caractère.
A l’aéroport, nous quittons Abdou et le chauffeur. C’était vraiment une belle semaine, riche, variée, pleine de couleurs, de sourires et de magnifiques carnets. Merci à toutes, aux mari et ami accompagnants, qui ont partagé de superbes photos et vidéos, nous éclairant souvent sur des métiers méconnus et inoubliables souvenirs. Merci à Morocco Ecotravel, Abdou, disponible, toujours à l’écoute et botaniste érudit et convaincant. Merci à toutes les Marocaines et Marocains que nous avons croisé pendant cette fameuse semaine. Il ont apporté leur tranche de bonheur aux précieux instants partagés en couleur.
Je propose qu’après le 15 09 24, nous nous retrouvions à Lyon dans un restaurant Marocain de préférence, pour visiter vos carnets terminés en évoquant les souvenirs partagés. Je vous informerai en temps opportun et en attendant, passez toutes et tous, un bel été.
Annie Fort
Bonjour Marie. Merci pour ce partage où j’ai pris beaucoup de plaisir ! J’ai fait ce même parcours avec Marjolaine Denimal et Abdou…..en novembre 2023. Vos travaux sont superbes, et tout le groupe a dû savourer ces moments.
Cordialement
Annie
Marie STRICHER
Merci beaucoup Annie. Oui nous avons apprécié à fond cette belle semaine comme toi j’en suis sûre. Ceci dit, après l’avoir fait, je pense que 2 villes au lieu de 3 étaient préférables. Ca fait rouler un peu trop, Chefchaouen m’a emballée, j’y serais restée 1 ou 2 jours de plus sans problème. Bel été. Marie
Brigitte Didillon
Chouette reportage
Les stages de Marie sont toujours top ????
Je n’étais pas de celui-ci … mais vivement septembre ! ????
Marie STRICHER
Merci Brigitte. Oui ravie de te retrouver pour le Kazakhstan et de nouvelles aventures
COSTECHAREIRE
Merci pour le partage de photos, récit, dessins, de ce superbe voyage. C’est très intéressant de voir les différentes interprétations d’un même paysage, vive la diversité ! Les ruelles bleues de Chefchaouen font penser à Jodhpur au Rajasthan.
Amitiés à toi et bel été
Françoise et Jean Louis
Marie STRICHER
Merci à vous pour ce gentil commentaire. C’est vrai que Chefchaouen est vraiment bleu encore plus que Jodhpur que j’ai visité il y a une bonne dizaine d’années. Le Maroc a une telle variété de paysages, chaque voyage est différent et les stagiaires ravies d’y retourner pour repartir à zéro. Bel été à vous en famille (ou pas). Amitiés. Marie
christine catteau
merci Marie de nous faire revivre si intensément ce super voyage stage et découverte d’autres contrées du Maroc: j’avais participé au précédent stage de 2023 et ce nouvel aspect du Maroc est tout aussi passionnant .
A bientôt
Marie STRICHER
Merci beaucoup Christine, c’est très sympa et c’est vrai que nous avons passé une super semaine au Maroc. A bientôt pour le Kazakhstan.
Cécile Bic
Merci Marie pour ce beau compte rendu que je lis enfin.
C’était un magnifique voyage que je revis en te lisant.
Quel beau pays et quelle belle équipe !
Mon carnet n’est pas fini mais je suis partante pour vous retrouver à Lyon en septembre.
Bon été et à bientôt.